Nouvel article de presse

Il y a également un article dans l'Est Républicain d'aujourd'hui. Il y en avait un hier aussi et puis un tout petit avant-hier. Désolé je ne sais pas mettre les liens. WWW.estrepublicain.fr page région, titre, "Je suis assez froid vis à vis de tout ça"... Sur le site il faut taper le titre tout simplement. Par contre je ne savais pas qu'il était programmé pour les prochaines Eurockéennes ???

Bonne lecture et bonne journée.

Karen.

Karen. a écrit:

Il y a également un article dans l'Est Républicain d'aujourd'hui. Il y en avait un hier aussi et puis un tout petit avant-hier. Désolé je ne sais pas mettre les liens. WWW.estrepublicain.fr page région, titre, "Je suis assez froid vis à vis de tout ça"... Sur le site il faut taper le titre tout simplement. Par contre je ne savais pas qu'il était programmé pour les prochaines Eurockéennes ???

Bonne lecture et bonne journée.

Karen.

Merci Karen, je mets le lien :

http://WWW.estrepublicain.fr/actualite/2012/03/06/je-suis-assez-froid-vis-a-vis-de-tout-ca

super !

Une interview récente sur le Bien Public, le journal de Côte d'Or. Pour Rebecca-Fraise, c'est ce journal-là que je lis. Et comble du pire, cet article m'avait échappé ...

Ils ont dû faire une page entière, avec tous les " Sur le même sujet " en gris en bas de la page.

http://www.bienpublic.com/grand-dijon/2012/03/07/son-rapport-a-dijon

Publié le 12/08/2012 à 20h47
Par Mario Bompart
Hubert-Félix Thiefaine : "La mélancolie est une tristesse douce"

La poésie sensible et mystérieuse d’Hubert-Félix Thiefaine a été reconnue sur le tard. Mais à 63 ans, ce chanteur mélancolique et révolté est un monument considéré à la hauteur de son talent.




Hier soir, tout juste sorti de son concert au festival Musicalarue de Luxey, Thiefaine est venu parler de son public, de littérature et de mélancolie.

Ce soir, comment avez-vous senti votre public ? Est-il différent depuis la reconnaissance offerte par les Victoires de la musique ?

Je n’entends pas le public avec les oreillettes. Mais je le vois et je le sens. Ce soir, il y avait de bonnes vibrations. La foule est peut-être plus large, mais depuis trente ans, j’ai toujours eu un public. Cette année, les Victoires de la musique (artiste masculin de l’année et album de l’année) m’ont permis d’être pris au sérieux par le grand public. Et mes fidèles ont sans doute apprécié que je devienne officiel. J’espère être multi-générationnel. Ce soir je voyais un petit garçon qui dansait comme un fou. C’est touchant de voir que les jeunes sont attirés par la poésie. Ça montre que le monde a encore une âme.

Quelles sont vos références poétiques ?

J’ai des centaines de maîtres. Je suis amoureux de l’art dans toutes ses formes. Particulièrement de poésie… Puisque je ne suis pas un fou dingue de réalité. Je fais parti de la famille des autruches, je plonge mon nez dans des livres et j’en ressors ma nourriture intellectuelle. En musique mes maîtres sont Bob Dylan, les Rolling Stones, Jacques Brel et l’immense Léo Ferré. Chez les poètes, j’aime Baudelaire, Rimbaud, Céline. La Beat generation a beaucoup compté dans ma construction artistique, avec des auteurs comme Allen Ginsberg, Hedwig Gorsky. J’ai fait un pèlerinage à San Francisco sur les traces de Ginsberg. Je ne l’ai pas trouvé. Les russes Tolstoï, Dostoïevsky me passionnent aussi. Je n’oublie pas les grecques et latins : Homère, Ovide et Virgile. Je crois que je suis en très bonne compagnie.

On entend souvent que vous êtes un « chanteur mélancolique ». Qu’est-ce que la mélancolie ?

« La mélancolie c’est revoir Garbo, dans la reine Christine, c’est revoir Charlot à l’âge de Chaplin (…) C’est voir deux amants qui lisent le journal, c’est voir sa maman chaque fois qu’on se voit mal (…) C’est ce qu’on ne peut pas dire » (Tiefaine reprend Leo Ferré). La mélancolie c’est Ferré. Il a sans doute beaucoup déteint sur moi. La mélancolie est tellement abstraite. Ce ne sont que des images, des impressions, des rêves, des mémoires diffuses. Une tristesse douce. Un désespoir qui n’a pas les moyens d’en être un. Je ne peux la définir mais je suis heureux d’avoir la mélancolie pour écrire, je me demande si je pourrais composer sans elle…

http://www.sudouest.fr/2012/08/12/hubert-felix-thiefaine-la-melancolie-est-une-tristesse-douce-793037-3430.php

Nietzsche est mort et dieu n'en parlons pas :

Il faut élever l'âme vers la sphère des idées intelligibles, au-delà du monde des réalités sensibles.

Platon

Source : Télépoche bd ' les Profs '

Karen. a écrit:

Jusqu'à présent je pensais que tout était possible dans la vie d'une façon comme d'une autre, qu'au final on y arrivait... Mais plus je réfléchis et plus je me dis que je me suis trompée, il y a bel et bien des choses de l'existence qui font que ça reste impossible.

Autrement, à chacun ses vérités toutes différentes les unes que les autres, mais j'adhère encore assez bien en partie avec celles d'Hubert.

Toi l'Artiste un temps plus proche de Carl Gustav Jung que de Freud, c'était différent mais très bien aussi...

Hubert, Humain trop Humain ?

Scandale Mélancolique est l'album qui représente pour moi, quelque part ailleurs, parfaitement cette forme d'emprisonnement.

Karen.

, cela mériterait une long analyse et un long développement Karen .. nous sommes tous humains .. pas plus, pas moins .. certains en recherche .. d'autres se limitant car limités ou volontairement limités ..

Un article de l'écho républicain suite au concert de Chateaudun le 8 novembre ...

http://www.lechorepublicain.fr/eure-et-loir/actualite/pays/pays-dunois/2012/11/10/le-chanteur-etait-en-concert-jeudi-soir-a-lespace-malraux-1327996.html

Mais c'est à se demander si la journaliste a bien assisté au concert parce que "Solexine et Ganja" n'a pas repris sa place dans la playlist...