| Léo Ferré.. | |
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Animal bluesymental Affilié au Human Fan Club
Nombre de messages : 1980 Age : 42 Localisation : Avec le blues au fond du couloir. Date d'inscription : 19/01/2008
| Sujet: Léo Ferré.. Dim 20 Jan - 20:27 | |
| Ferré, Léo (1916-1993), auteur, compositeur et interprète français.
Issu d’une famille de la petite bourgeoisie monégasque — son père est directeur du personnel au casino de Monaco —, Léo Ferré fait ses études en Italie, puis deux années de philosophie à Monte-Carlo, et, en 1935, il se rend à Paris pour y préparer l’Institut de sciences politiques et une licence de droit. De retour à Monaco en 1937, il exerce divers petits métiers en attendant d’être appelé sous les drapeaux. Durant les années de guerre, il travaille à Radio Monte-Carlo comme speaker, pianiste (il accompagne notamment Lys Gauty), régisseur et bruiteur.
À partir de 1943, il écrit ses premières chansons en compagnie de René Baër (« la Chanson du scaphandrier »), et, en 1945, il rencontre Édith Piaf qui lui conseille de retourner à Paris. Aussi, en novembre 1946, débute-t-il au Bœuf sur le toit. Se produisant ensuite dans l’habituel circuit des cabarets (Le Quod Libet, L’Écluse…), il fait la connaissance de Francis Claude, avec lequel il écrira plus tard « la Vie d’artiste », et de Jean-Roger Caussimon, dont il interprétera de nombreux textes (« Comme à Ostende », « Monsieur William », « Mon camarade », « le Temps du tango », « Nous deux », « Ne chantez pas la mort », etc.). Au hasard des rencontres, il se lie avec le milieu libertaire et donne ses premiers galas au profit de la Fédération anarchiste (1947) ; indéfectible, son soutien aux lieux d’expression anarchiste — Théâtre Libertaire de Paris, Radio Libertaire, maintes fois menacée d’interdiction, journal le Monde libertaire —, témoigne d’ailleurs d’un engagement sincère, quoique regardé parfois par certains comme esthétisant ou déclamatoire.
En 1950, il écrit un opéra, la Vie d’artiste, et enregistre ses premiers disques 78 tours ; mais le succès tarde à venir, malgré le Grand Prix du disque remporté en 1954 par Catherine Sauvage avec « Paris canaille » et « l’Homme » (son album éponyme, écrit par Ferré), ou encore le succès remporté par une chanson comme « Jolie Môme », interprétée par Juliette Gréco, qui a commencé à populariser son répertoire.
La même année, Léo Ferré dirige l’orchestre de Monte-Carlo, pour son oratorio la Chanson du mal-aimé, d’après le poème d’Apollinaire. En 1955, il passe pour la première fois en vedette à l’Olympia, mais sera toujours plus à l’aise à Bobino, où il triomphe en 1958, face à un public tout acquis à sa cause de « Graine d’ananar ». Ce même public le plébiscite à nouveau lors de son passage à l’Alhambra en 1960.
Désormais, Ferré est reconnu par tous comme l’un des plus grands auteurs-compositeurs de son temps, et — consécration suprême — il est le premier chanteur à être accueilli dans la prestigieuse collection « Poètes d’aujourd’hui » des Éditions Seghers (1962).
En 1968, après avoir rompu avec sa seconde épouse, Madeleine, il part s’installer dans le Chianti en Toscane et ne prend guère part aux « événements » qui agitent le printemps, ce que d’aucuns lui reprocheront amèrement. Pourtant, après une crise d’inspiration certaine vers le milieu des années soixante, Léo Ferré retrouve après 1968 un second souffle qui ne le quittera plus et qui lui vaudra l’attachement indéfectible d’une nouvelle génération de fidèles, encline à faire de lui — à son corps défendant — le porte-parole de sa révolte. Le premier album sortant dans la foulée est assez symptomatique à cet égard, puisqu’à côté de chansons aussi fortes que « les Anarchistes » ou « Pépée » (1968), il contient ce qui va rester le plus grand succès public et radiophonique de toute son œuvre, « C'est extra » (1969), dont le clin d’œil aux Moody Blues annonce les expériences prochaines du chanteur avec le groupe pop Zoo et le formidable double album Amour-Anarchie.
Désormais retiré avec sa nouvelle famille sur ses terres de Toscane, Léo Ferré ne cesse plus de produire de nouveaux albums ; son écriture oscille régulièrement entre des chansons de facture classique (« Avec le temps », « Richard », « les Vieux Copains », « l’Oppression », « les Oiseaux du malheur »), parfois très noires (« la Mort », « Tu ne dis jamais rien », « la Folie ») et de longs récitatifs sur fond de musique symphonique (« Il n’y plus rien », « Et… basta ! », « la Solitude », « la Mémoire et la Mer », etc.).
Parallèlement à son œuvre personnelle, considérable tant en volume qu’en importance, Léo Ferré aura toujours eu à cœur de chanter les poètes classiques, comme Rutebeuf, Verlaine, Rimbaud, Apollinaire, Baudelaire, auxquels ils dédie des albums entiers, aussi bien que les poètes contemporains, comme Aragon (« Elsa »), Pierre Seghers (« Merde à Vauban ») ou encore Luc Bérimont.
Il s’éteint chez lui, à Castellina in Chianti, un 14 juillet, comme pour faire un ultime pied de nez aux conventions de cette société bourgeoise qu’il a toujours exécrées.
Source: Encarta | |
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Evadné T'essayais de demander du feu à un teckel
Nombre de messages : 1760 Age : 56 Localisation : Dans la tendresse d'un no man's land... Date d'inscription : 27/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Mar 29 Jan - 20:41 | |
| Léo Ferré LA SOLITUDE
Je suis d'un autre pays que le vôtre, d'un autre quartier, d'une autre solitude. Je m'invente aujourd'hui des chemins de traverse. Je ne suis plus de chez vous. J'attends des mutants. Biologiquement je m'arrange avec l'idée que je me fais de la biologie: je pisse, j'éjacule, je pleure. Il est de toute première instance que nous façonnions nos idées comme s'il s'agissait d'objets manufacturés. Je suis prêt à vous procurer les moules. Mais...
La solitude...
Les moules sont d'une testure nouvelle, je vous avertis. Ils ont été coulés demain matin. Si vous n'avez pas dès ce jour, le sentiment relatif de votre durée, il est inutile de regarder devant vous car devant c'est derrière, la nuit c'est le jour. Et...
La solitude...
Il est de toute première instance que les laveries automatiques, au coin des rues, soient aussi imperturbables que les feux d'arrêt ou de voie libre. Les flics du détersif vous indiqueront la case où il vous sera loisible de laver ce que vous croyez être votre conscience et qui n'est qu'une dépendance de l'ordinateur neurophile qui vous sert de cerveau. Et pourtant...
La solitude...
Le désespoir est une forme supérieure de la critique. Pour le moment, nous l'appellerons "bonheur", les mots que vous employez n'étant plus "les mots" mais une sorte de conduit à travers lesquels les analphabètes se font bonne conscience. Mais...
La solitude...
Le Code civil nous en parlerons plus tard. Pour le moment, je voudrais codifier l'incodifiable. Je voudrais mesurer vos danaïdes démocraties. Je voudrais m'insérer dans le vide absolu et devenir le non-dit, le non-avenu, le non-vierge par manque de lucidité. La lucidité se tient dans mon froc. | |
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Solidésir Tu veux jouer ton aventure
Nombre de messages : 424 Age : 45 Localisation : Au fond d'un verre d'alcool Date d'inscription : 25/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Lun 4 Fév - 11:08 | |
| Ecoutez "Lorsque tu me liras", "La mémoire et la mer", "Ton style", "la Mélancolie", "Tu ne dis jamais rien" Et vous ressentirez tout ce que pouvait être le Grand Léo | |
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Evadné T'essayais de demander du feu à un teckel
Nombre de messages : 1760 Age : 56 Localisation : Dans la tendresse d'un no man's land... Date d'inscription : 27/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Lun 4 Fév - 20:41 | |
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Manu T'as p'têtre l'horaire des boute-en-train
Nombre de messages : 682 Age : 52 Localisation : ici et ailleurs Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Lun 4 Fév - 20:59 | |
| Rajoutez y .. "Ni Dieu ni Maitre" | |
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Arabesque Vire cette pierre de ton coeur
Nombre de messages : 6033 Age : 54 Localisation : de l'autre côté du passage obscur Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Dim 10 Fév - 9:26 | |
| Et les "Amants Tristes"
Comme une fleur venue d'on ne sait où petit Fané déjà pour moi pour toi dans les vitrines Dans un texte impossible à se carrer au lit Ces fleurs du mal dit-on que tes courbes dessinent
On dit dans ton quartier que tu as froid aux yeux Que t'y mets des fichus de bandes dessinées Et que les gens te lisent un peu comme tu veux Tu leur fais avaler tes monts et tes vallées
Tu es aux carrefours avec le rouge mis On y attend du vert de tes vertes prairies Alors que j'ai fauché ce matin dans ton lit De quoi nourrir l'hiver et ma mélancolie
Mélancolie mélancolie la mer revient Je t'attends sur le quai avec tes bateaux blêmes Tes poissons d'argent bleu tes paniers ton destin Et mes mouettes dans tes cris comme une traîne
Je connais une femme lubrique à Paris Qui mange mes syllabes et me les rend indemnes Avec de la musique autour qui me sourit Demain je lui dirai des hiboux qui s'envolent J'en connais dans ma nuit qui n'ont pas de fourrure Qui crèvent doucement de froid dans l'antarctique De cette négation d'aimer au bout de l'ombre Mes oiseaux font de l'ombre en plein minuit néon Sous les verts plébiscites
Tu connais une femme lubrique à Moscou Qui mange tes syllabes et les met dans ton bortsch Il connaît une femme lubrique à Pékin Qui mange sa muraille et la donne au Parti Demain nous leur dirons des hiboux qui s'envolent J'en connais dans leur nuit qui n'ont plus de jaquette Qui crèvent doucement de froid sous leur casquette Avec leurs beaux yeux d'or mêlés du Palomar là-bas Vers les voix de la nuit des étoiles perdues J'entends des sons lointains qui cherchent des caresses Et dans les faits divers là-bas ça s'exaspère Et ça tue le chagrin comme on tue la flicaille Au coin d'un vieux soleil exténué des glaces
Mélancolie Mélancolie la mer se calme Je vois monter partout des filles et des palmes Avec des fruits huilés dans la fente alanguie Les matelots me font des signes de fortune Ils se noient dans le sang du soleil descendant Vers l'Ouest toujours à l'Ouest Western de carton-pâte Le dentifrice dans la nuit se tient au rose Un néon de misère emprunté à tes yeux
Viens je t'emmènerai là-bas vers les grands astres Dans le désastre du matin ou chez Renault Voir comment l'on fabrique un chef et des autos Voir la pitié grandir sur des croix qui s'enchristent
Je t'aimerai sur la chaussée et son collant Ton goudron j'y prendrai le suc de mes cavales J'aurai l'air d'un roi nègre tu mettras à la moelle Où je glouglouterai repu ton sentiment
Ton sentiment a le goût de gazelle Ton ventre n'est qu'un champ de lavande à midi Et mon couteau qui crisse en y fauchant ma mie Est d'un faucheur distrait qui s'éploie sous ton aile Il est au féminin ton sentiment Il est comme ces demoiselles qui en ont à revendre Et qui le vendent bien
Ton sentiment me fait gonfler mes voiles d'ange Ton sentiment me fait du bien au sentiment Et les fleurs du pavé poussent des cris étranges Moi qui viens du pavé vers toi et me dressant
Et moi je ne te prends que ce que je te dois Si je n'avais que du sentiment à t'filer Il y a bien longtemps que tu m'aurais banni De ton fief de ton cul de ta loi de tes langes Il y a bien longtemps que tu te serais cassée
Mais tu m'as réveillé Et tu nous as tirés de notre mort quotidienne Et puis toi tu te meurs dans la rue à midi Sous des floppées de soleils mous Et de ces mecs qui te prennent dans les mirettes Et qui te mirent bien dans l'os Des fois que leur labo pourrait leur renvoyer subito Ta dégaine grandeur naturliche A la mesure de leur page Des fois le soir ils te prendraient impunément Ils s'empaquetteraient de toi De ton devoir de grue Comme dans un journal
Au fond t'es un journal
Je te lis je te plie je te froisse et tu cries Quand on froisse la soie la forêt sa copine Lui fait des cris de soeur lui fait des cris sublimes La soie du crépuscule a des cris de velours Dans des lits de parade Dans ces feuilles d'automne Des taches de rousseur sur la gueule des bois Je te lis je te plie je te froisse et tu cries
Au fond t'es un journal
Tu t'en prendrais plutôt pour cinq colonnes Chez toi le fait divers sonne comme un outrage Tu es partout chez toi et même aux mots croisés Tu m'y fais deviner les armes de ta voix Je t'aime et verticalement c'est bien Tu croises dans mes eaux quand je suis ton pirate Je te lis je te plie je te froisse et tu cries
Quand je t'aurai bien lue y compris les annonces
J'irai au marché aux poissons Et t'envelopperai de moules vertes
Au fond t'es un journal mouillé
Avec ta robe imprimée en blanc et noir Et tes paroles que personne ne pourra plus lire Tu seras ma dernière nouvelle effacée sur le sable
Tu seras mienne pour la mort je t'aime
Et même avec la fin du monde La fin du monde abstraite où tout n'est que chiffré Avec ces coeurs d'acier leurs battements trichés Avec ces poumons d'or dans les cages-ascenseurs Où l'on se tient debout où l'on se tient ailleurs Tu vas descendre là pour t'entendre rêver Même le rêve gueule à n'y pouvoir plus rien Le silence est rempli du silence trop plein Quand ça déborde on croit venue la fin des temps De ces temps mesurés sur des machines obscènes Où les minutes ont des cons qui se promènent En se prenant pour l'Éternité Et même avec la fin du monde Je me démerderai pour que t'y voies que dalle Que dalle c'est pas mal ça ne fait que passer Ce rien qui prend ses aises aux week-ends de la mort Quand les ballots y accélèrent leurs victimes Enchâssée enchristée encollée à mon froc Tu partiras là-bas vers des boutiques fantastiques Vers le supermarché où l'on vend la paresse Où l'on vend de la mort aussi quand on s'y laisse Où l'on vend la fumée et le vent en paquet Et l'on paie en sortant avec des sortilèges
L'instant
Au cent millième de seconde Je te regarderai Tu monteras du fond des âges Tu te prosterneras Je te tendrai la main Et tu m'agrippera
L'instant
Il va fondre sur toi comme la foudre Trois cent mille bornes à la seconde Il n'aura plus le temps de s'attarder au feu rouge On grillera les feux d'alarme Et ma pensée qui te devance
Regarde
Ecoute bien le chant de cet enfant maudit Que tu croiras ton mec et qui n'est qu'un mirage Oublié par ma mère au fond d'une poubelle Cette éternelle nuit
Bien se laver le cul c'est donc ça le désordre !
Regarde-moi là dans mes yeux regarde il vient l'instant
Comme à l'automne les bandits jaunes Qui font aux arbres des hold-up mordorés Et tu vas t'envahir Et tu vas t'immerger Et te coloniser Tu es seule dans mes pattes
Comme un saxo gueulant des chants désespérés Tes cris sont des violons des rues Des hautbois en plastique Des flûtes de laiton Et tu t'en fous C'est là il est là Entends la mer qui te remonte dans la gueule Et cette marée double au fond de tes yeux-feu Dans le feu de tes yeux mon regard s'est éteint
Crie crie crie
TU es moi JE c'est toi Comment t'appelles-tu ? Tu t'appelles la nuit dans le ventre des filles De ces filles qui roulent au bord de la mort lente Tu t'appelles l'amour Tu es toutes les femmes Tu es TOI tu es ELLES Des niagaras vernis me tombent dans la gueule
Crie crie crie
Tu n'es plus là parce que tu es moi Et que je suis ailleurs JE et TOI C'est tout comme Et l'on s'en va mourir au club des nuits cassées
Qui donc réparera l'âme des amants tristes Qui donc réparera l'âme des amants tristes Qui donc réparera l'âme des amants tristes
Qui donc ? | |
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Arnaud T'essayais de demander du feu à un teckel
Nombre de messages : 1773 Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Lun 14 Juil - 20:44 | |
| Aujourd'hui sur les radios et TV, rien, pas un mot sur les 15 ans de la disparition de Léo Ferré.
On commémore ceux qui sont des héros malgré eux parce qu'ils réchappent à je ne sais quel attentat ou meurent inocemment, mais on oublie de commémorer ceux dont l'oeuvre permet à l'édifice de la culture française d'être ce qu'il est aujour'hui.
Quelle tristesse ! | |
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Evadné T'essayais de demander du feu à un teckel
Nombre de messages : 1760 Age : 56 Localisation : Dans la tendresse d'un no man's land... Date d'inscription : 27/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Lun 14 Juil - 22:06 | |
| C'est dingue ça! En fait c'est surtout lamentable... | |
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Clo Tu voudrais franchir la lumière
Nombre de messages : 3236 Age : 42 Localisation : à peu près par là... Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Mar 15 Juil - 7:04 | |
| En effet, c'est misérable. Je vais essayer de contacter l'association qui avait fait la rétrospective Ferré il y a 5 ans pour voir si quelque chose est prévue cette année... | |
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Arnaud T'essayais de demander du feu à un teckel
Nombre de messages : 1773 Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Ven 1 Aoû - 8:44 | |
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tieum Tu cuis ton coeur au bourre-couillon
Nombre de messages : 877 Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Ven 1 Aoû - 9:47 | |
| merci arnaud, magnifique chanson, la c'est du lourd, hubert la vis totale, je me suis tjrs posé la question est ce qu'hubert était maquillé ? | |
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Arabesque Vire cette pierre de ton coeur
Nombre de messages : 6033 Age : 54 Localisation : de l'autre côté du passage obscur Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Ven 1 Aoû - 10:47 | |
| ARRRRFFFFF!!!!Magnifique!!! Merciiiiiii!!! :sloopy: | |
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rod hot Tu redescends chez ton opium
Nombre de messages : 80 Age : 54 Date d'inscription : 24/07/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Ven 1 Aoû - 11:43 | |
| Sur le cul !! désolé j'ai pas d'autres mots ... | |
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Karen. Tu craques ta mélanco
Nombre de messages : 476 Age : 55 Date d'inscription : 22/04/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Ven 1 Aoû - 14:49 | |
| Hubert a les yeux maquillés. | |
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Clo Tu voudrais franchir la lumière
Nombre de messages : 3236 Age : 42 Localisation : à peu près par là... Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Ven 1 Aoû - 16:02 | |
| Merci beaucoup Arnaud!!!! | |
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BBB Tu cherches dans les cercles où se perdent les âmes
Nombre de messages : 1294 Age : 54 Localisation : sur un fil tendu au-dessus du hasard Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Ven 1 Aoû - 16:46 | |
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Clo Tu voudrais franchir la lumière
Nombre de messages : 3236 Age : 42 Localisation : à peu près par là... Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Ven 1 Aoû - 17:00 | |
| Malheureusement, Cantat ne me fait plus frissonner depuis quelques années... | |
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BBB Tu cherches dans les cercles où se perdent les âmes
Nombre de messages : 1294 Age : 54 Localisation : sur un fil tendu au-dessus du hasard Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Ven 1 Aoû - 18:20 | |
| Pour moi ça marche toujours ! | |
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ray Tu cuis ton coeur au bourre-couillon
Nombre de messages : 851 Age : 58 Localisation : gwada Date d'inscription : 04/02/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Ven 1 Aoû - 19:36 | |
| - nath a écrit:
- Pour moi ça marche toujours !
Moi aussi ! mais l'interpretation de la solitude par Hubert c'est un grand moment | |
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tieum Tu cuis ton coeur au bourre-couillon
Nombre de messages : 877 Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Dim 10 Aoû - 10:00 | |
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Karen. Tu craques ta mélanco
Nombre de messages : 476 Age : 55 Date d'inscription : 22/04/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Dim 10 Aoû - 17:24 | |
| HOULA !! Je sors | |
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BBB Tu cherches dans les cercles où se perdent les âmes
Nombre de messages : 1294 Age : 54 Localisation : sur un fil tendu au-dessus du hasard Date d'inscription : 21/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Dim 10 Aoû - 17:45 | |
| il faut savoir faire la part des choses, on ne peut pas avoir dit pendant des années ce groupe de rock français est sublime et dire caca d'un seul coup parce que l'un des membres a franchi les limites. Pour moi, je fais la part des choses et je continue d'écouter Noir Désir parce que c'est bon. | |
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Loreleï2 Tu voudrais franchir la lumière
Nombre de messages : 3263 Age : 50 Localisation : Chambre 2023 Date d'inscription : 01/10/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Mar 7 Avr - 15:50 | |
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Adrien Tu jouis comme un phénix ivre mort sous les flammes
Nombre de messages : 1404 Age : 34 Localisation : Encore plus loin ... AILLEURS Date d'inscription : 23/01/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Mar 7 Avr - 20:31 | |
| J'ai écouté plusieurs fois "La solitude" aujourd'hui | |
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Loreleï2 Tu voudrais franchir la lumière
Nombre de messages : 3263 Age : 50 Localisation : Chambre 2023 Date d'inscription : 01/10/2008
| Sujet: Re: Léo Ferré.. Mer 15 Avr - 10:33 | |
| C'est en entendant Hubert reprendre La Solitude que ça m'a incité à découvrir ceta artiste plus avant , donc pour ça aussi,merci ! | |
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| Sujet: Re: Léo Ferré.. | |
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| Léo Ferré.. | |
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